001074152
100  $a20130609                 y50      
101  $afre
2001 $aBiostratigraphie et paléoenvironnements du crétacé supérieur du SE constantinois (monts des Hamimats, Tébessa et Mellègue), à partir de l'étude de la faune et de la microfaune.$bressource électronique
210  $d13/12/2012
215  $a240 p.$cill.$d30 cm.
328 1$bDoctorat$cGéologie$d13/12/2012
330  $a A travers l’examen de six coupes stratigraphiques de l’est algérien (région de Tébessa), ce travail s’articule principalement autour de deux axes, avec d’une part l’étude stratigraphique des dépôts, et d’autre part l’étude des paléoenvironnements. Pour ce faire, plusieurs centaines d’échantillons ont été prélevés et leur contenu micropaléontologique précisément détaillé. Dans ces niveaux datés du Crétacé moyen à supérieur, ce sont ainsi environ 150 espèces de foraminifères qui ont été reconnues (tant planctoniques que benthiques), une vingtaine d’espèces d’ostracodes et une dizaine d’espèces de radiolaires.  L’étude des foraminifères planctoniques notamment a permis de distinguer différentes biozones, comprises entre l’Albien supérieur à Ouenza (biozone à Pseudoth. ticinensis) et le Santonien à Télidjène (biozone à D. asymetrica). La stratigraphie ainsi établie se révèle relativement précise et permet de corriger par exemple certaines limites de couches incorrectes. L’étude des rapports d’abondance entre les différentes catégories de microfossiles, corrélée à divers autres analyses (mesure du taux de carbonate ou du taux de COT) permet quant à elle de préciser les paléoenvironnements, qui se révèlent relativement homogènes tout au long de la période considérée. Les dépôts se sont en effet mis en place dans un domaine profond (plate-forme externe à talus moyen), caractérisé, en profondeur, par une mauvaise oxygénation récurrente, et, en surface, par une forte productivité (zone d’upwelling). Certains épisodes sévèrement anoxiques ont même conduit à la disparition quasi-complète du benthos, notamment à la limite Cénomanien/Turonien, marquée par la survenue d’une crise d’anoxie mondiale (OAE2). Cet évènement a bien été identifié, dans quatre des six coupes étudiées, et ce grâce à différents repères biologiques, comme par exemple la disparition des dernières rotalipores, la présence de ‘filaments’ ou encore le pullulement des Heterohelix. D’autres évènements anoxiques, de moindre ampleur, ont également été mis en lumière (OAE1d, OAE3).
337  $asupport papier accompagné d'un CD-Rom ; Bibliogr. p. 241-257
610  $aCrétacé 
610  $a Crétacé inférieur : Tbessa (Algérie) 
610  $a Foraminifères : Tbessa (Algérie) 
610  $a Ostrocodes 
610  $a Radiolaires 
610  $a Biostratigraphie : Tbessa (Algérie)
700  $aRUAULT-DJERRAB, muriel
701  $aArray
801 0$aDZ$bCERIST PNST
901$ac
990  $a551.77