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2001 $aeffet immédiat des étirements prolongés sur la performance spotive en sprint$bressource électronique
210 $aUniversité de Mostaganem - Abdelhamid Ibn Badis : Département d'Entrainement Sportif$cUniversité de Mostaganem - Abdelhamid Ibn Badis
328 1$bMagister$cEducation physique et Sportive$eDépartement d'Entrainement Sportif , Université de Mostaganem - Abdelhamid Ibn Badis
330 $aLes vérités d’hier ne sont souvent pas celles d’aujourd’hui et encore moins celles de demain.
Telle va la science. Elle avance, qu’on le veuille ou non. Mais pour bénéficier aux mieux de ses avancées, il est nécessaire de confronter les résultats aux données et observations de terrain. Cette démarche doit rester la clé de voûte de tout processus de validation de méthodes d’entraînement sous peine de tomber dans le travers inverse qui consiste à mettre une confiance aveugle dans les résultats que proposent les revues scientifiques et que certains considèrent pour acquis en négligeant les autres travaux déjà publiés ou en cours de publication, ou généralisables à toutes les conditions d’entraînement alors qu’il ne s’agit que d’une analyse spécifique et précise d’un phénomène isolé. L’étirement est fréquemment présenté par les entraîneurs comme un facteur d’amélioration de la performance sportive lorsqu’il est utilisé pendant l’échauffement pour une compétition, pour favoriser et accélérer la récupération après une séance d’entraînement intense et pour la prévention des blessures.
Vu notre double statut (étudiant chercheur et entraîneur), nous nous efforçons de rendre accessible de nombreuses informations relatives à l’optimisation de l’entraînement, d’où l’intérêt de la recherche qui porte précisément sur la relation entre les étirements prolongés et la performance sportive. La procédure vise à inclure des étirements prolongés pendant la phase d’échauffement qui précède l’épreuve de sprint de 40 m chez les athlètes de sprint et à étudier l’effet de ces étirements sur les performances. Pour ce faire les athlètes sont mis en deux situations la première consiste à courir suite a une session d’étirement prolongés tandisque la seconde ne contient plus d’étirement préalable. Cette évaluation indépendante de la valeur réelle de la performance des athlètes va nous permettre de déterminer l’effet immédiat d’un étirement prolongé qui précède une épreuve de sprint. De là espérons que toutes ces explications et expérimentations vont contribuées à la résolution d’un dés problèmes majeurs de la complexité de l’entraînement de la souplesse et apporté un plus au résultats scientifiques les plus récentes pour optimiser les effets des étirements.
Les vérités d’hier ne sont souvent pas celles d’aujourd’hui et encore moins celles de demain.
Telle va la science. Elle avance, qu’on le veuille ou non. Mais pour bénéficier aux mieux de ses avancées, il est nécessaire de confronter les résultats aux données et observations de terrain. Cette démarche doit rester la clé de voûte de tout processus de validation de méthodes d’entraînement sous peine de tomber dans le travers inverse qui consiste à mettre une confiance aveugle dans les résultats que proposent les revues scientifiques et que certains considèrent pour acquis en négligeant les autres travaux déjà publiés ou en cours de publication, ou généralisables à toutes les conditions d’entraînement alors qu’il ne s’agit que d’une analyse spécifique et précise d’un phénomène isolé. L’étirement est fréquemment présenté par les entraîneurs comme un facteur d’amélioration de la performance sportive lorsqu’il est utilisé pendant l’échauffement pour une compétition, pour favoriser et accélérer la récupération après une séance d’entraînement intense et pour la prévention des blessures.
Vu notre double statut (étudiant chercheur et entraîneur), nous nous efforçons de rendre accessible de nombreuses informations relatives à l’optimisation de l’entraînement, d’où l’intérêt de la recherche qui porte précisément sur la relation entre les étirements prolongés et la performance sportive. La procédure vise à inclure des étirements prolongés pendant la phase d’échauffement qui précède l’épreuve de sprint de 40 m chez les athlètes de sprint et à étudier l’effet de ces étirements sur les performances. Pour ce faire les athlètes sont mis en deux situations la première consiste à courir suite a une session d’étirement prolongés tandisque la seconde ne contient plus d’étirement préalable. Cette évaluation indépendante de la valeur réelle de la performance des athlètes va nous permettre de déterminer l’effet immédiat d’un étirement prolongé qui précède une épreuve de sprint. De là espérons que toutes ces explications et expérimentations vont contribuées à la résolution d’un dés problèmes majeurs de la complexité de l’entraînement de la souplesse et apporté un plus au résultats scientifiques les plus récentes pour optimiser les effets des étirements.
Les vérités d’hier ne sont souvent pas celles d’aujourd’hui et encore moins celles de demain.
Telle va la science. Elle avance, qu’on le veuille ou non. Mais pour bénéficier aux mieux de ses avancées, il est nécessaire de confronter les résultats aux données et observations de terrain. Cette démarche doit rester la clé de voûte de tout processus de validation de méthodes d’entraînement sous peine de tomber dans le travers inverse qui consiste à mettre une confiance aveugle dans les résultats que proposent les revues scientifiques et que certains considèrent pour acquis en négligeant les autres travaux déjà publiés ou en cours de publication, ou généralisables à toutes les conditions d’entraînement alors qu’il ne s’agit que d’une analyse spécifique et précise d’un phénomène isolé. L’étirement est fréquemment présenté par les entraîneurs comme un facteur d’amélioration de la performance sportive lorsqu’il est utilisé pendant l’échauffement pour une compétition, pour favoriser et accélérer la récupération après une séance d’entraînement intense et pour la prévention des blessures.
Vu notre double statut (étudiant chercheur et entraîneur), nous nous efforçons de rendre accessible de nombreuses informations relatives à l’optimisation de l’entraînement, d’où l’intérêt de la recherche qui porte précisément sur la relation entre les étirements prolongés et la performance sportive. La procédure vise à inclure des étirements prolongés pendant la phase d’échauffement qui précède l’épreuve de sprint de 40 m chez les athlètes de sprint et à étudier l’effet de ces étirements sur les performances. Pour ce faire les athlètes sont mis en deux situations la première consiste à courir suite a une session d’étirement prolongés tandisque la seconde ne contient plus d’étirement préalable. Cette évaluation indépendante de la valeur réelle de la performance des athlètes va nous permettre de déterminer l’effet immédiat d’un étirement prolongé qui précède une épreuve de sprint. De là espérons que toutes ces explications et expérimentations vont contribuées à la résolution d’un dés problèmes majeurs de la complexité de l’entraînement de la souplesse et apporté un plus au résultats scientifiques les plus récentes pour optimiser les effets des étirements.
Les vérités d’hier ne sont souvent pas celles d’aujourd’hui et encore moins celles de demain.
Telle va la science. Elle avance, qu’on le veuille ou non. Mais pour bénéficier aux mieux de ses avancées, il est nécessaire de confronter les résultats aux données et observations de terrain. Cette démarche doit rester la clé de voûte de tout processus de validation de méthodes d’entraînement sous peine de tomber dans le travers inverse qui consiste à mettre une confiance aveugle dans les résultats que proposent les revues scientifiques et que certains considèrent pour acquis en négligeant les autres travaux déjà publiés ou en cours de publication, ou généralisables à toutes les conditions d’entraînement alors qu’il ne s’agit que d’une analyse spécifique et précise d’un phénomène isolé. L’étirement est fréquemment présenté par les entraîneurs comme un facteur d’amélioration de la performance sportive lorsqu’il est utilisé pendant l’échauffement pour une compétition, pour favoriser et accélérer la récupération après une séance d’entraînement intense et pour la prévention des blessures.
Vu notre double statut (étudiant chercheur et entraîneur), nous nous efforçons de rendre accessible de nombreuses informations relatives à l’optimisation de l’entraînement, d’où l’intérêt de la recherche qui porte précisément sur la relation entre les étirements prolongés et la performance sportive. La procédure vise à inclure des étirements prolongés pendant la phase d’échauffement qui précède l’épreuve de sprint de 40 m chez les athlètes de sprint et à étudier l’effet de ces étirements sur les performances. Pour ce faire les athlètes sont mis en deux situations la première consiste à courir suite a une session d’étirement prolongés tandisque la seconde ne contient plus d’étirement préalable. Cette évaluation indépendante de la valeur réelle de la performance des athlètes va nous permettre de déterminer l’effet immédiat d’un étirement prolongé qui précède une épreuve de sprint. De là espérons que toutes ces explications et expérimentations vont contribuées à la résolution d’un dés problèmes majeurs de la complexité de l’entraînement de la souplesse et apporté un plus au résultats scientifiques les plus récentes pour optimiser les effets des étirements
610 $aetirement prolongé,performance sportive,sprint
700 $aMOKKEDES, MOULAY IDRIS
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