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EtablissementUniversité de Laghouat - Amar Telidji
AffiliationDépartement de Chimie Industrielle
AuteurBouchareb, Elhadj
Directeur de thèseBenalia Mokhtar (Maitre de conférence)
FilièreChimie : Analytique et Contrôle
DiplômeDoctorat
TitreEtude comparative thermique et thermodynamiques de séries homologues par chromatographie utilisant de phase cristalline liquide comme phase stationnaire.
Mots clésCristal liquide, mésogène, mésophase, nématique, point de transition, chromatographie en phase gazeuse, phase stationnaire, série homologue.
RésuméL'étude des cristaux liquides a commencé entre 1850 et 1880 avec l'observation de substances étranges, d'origine biologique pour la plupart, présentant plusieurs points de fusion. Leur véritable découverte est toutefois attribuée au botaniste autrichien F. Reinitzer qui fut le premier, en 1888, à reconnaître dans l'état fluide opalescent d'un dérivé du cholestérol un nouvel état de la matière. Très active jusqu'en 1930, la recherche sur les cristaux liquides connut un relatif Sommeil jusqu'en 1958. Le renouveau et l'essor de la discipline à partir de 1960 sont dus à l'apparition de nouveaux cristaux liquides de synthèse, à l'intérêt théorique suscité par leurs propriétés critiques et structurales variées et surtout à leurs applications technologiques parmi les quelles les plus réussies sont les affichages: L'utilisation des cristaux liquides pour la séparation des isomères a commence en 1963 par KELKER qui a utilise le P, P-azoxyphénétol comme phase stationnaire en chromatographie gaz-liquide. Depuis, la richesse et la diversité des phases stationnaire cristalline liquide avec l'avènement des colonnes capillaires à permis d'effecteur un nombre importent de recherche en vue d'obtenir la performance en phase gazeuse. La simplicité, la rapidité, l'exactitude, le pouvoir d'opérer à des températures aisément contrôlables, la compatibilité du cristal liquide comme phase stationnaire et l'aptitude de travailler à dilution infinie sont des facteurs qui en font de la chromatographie en phase gazeuse inverse une méthode particulièrement adapté à l'étude des propriétés physicochimiques de la phase stationnaire et du soluté. Le but de notre recherche est de synthétiser d'une part un mésogène et de le caractériser par différentes méthodes (point de fusion, IR, RMN proton et carbone 13, DSC, microscope de polarisation ....), d'autre part de faire une étude thermique et thermodynamique de certaines séries homologues (alcanes, alcools, ...) par chromatographie en en utilisant notre mésogène comme phase stationnaire.
StatutValidé
format unimarc